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4975 résultats trouvés
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| Titre : | Le songe de ma femme (l'oiseau du mari) |
| Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Will ; Plébus, Lucien |
| Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
| Genre : | Café-concert |
| Fichier audio : | |
| Support d'enregistrement : | Cylindre |
| Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
| Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
| Marque de fabrique, label : | Pathé |
| Numéro de catalogue : | 2764 |
| Date de l'enregistrement : | 1898 |
| Instruments : | monologue grivois |
| Couleur de la pâte : | marron |
| État : | Exc++ |
| Vitesse (tours/minute) : | 122 |
| Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Cedar X declick, decrackle |
| Date du transfert : | 02-01-2010 |
| Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Intéressant bruit de studio : ça discute pendant la longue introduction au piano |
| Texte du contenu : | Le songe de ma femme
Monologue grivois sous-titré L'oiseau du mari - Paroles : Will, Plébus - Éditeur : Marcel Labbé C' matin, ma femme me dit : Léon, j'ai fait cette nuit un joli songe Il m'a semblé tell'ment beau que j' me r'couch'rais bien pour qu'i' s' prolonge Ah ! ah ! conte-moi ton rêve s'il est si beau Parole, tu m' mets l'eau à la bouche Ah ! j' veux bien : Voilà, j' voyais un p'tit oiseau Qui gigotait dans notre couche Moi, j'avais un joli p'tit nid Tout capitonné de satin rose Il était si beau, si gentil Ah ! qu' l'oiseau en était tout chose À seule fin de l'apprivoiser J' commençai par lui faire risette Puis je me mis à l' caresser Bien douc'ment sur sa jolie p'tite tête Mais l' pauvret était tout transi Car soudain je l' vois qui grelotte Je souffrais de le voir ainsi Alors dans mes mains je l' dorlote Tout à coup, je n' sais pas comment Il se dégagea d' mon étreinte Et fit un tel chambardement Que je poussai un cri de crainte Mais le gaillard était plein d' ruse Car, en m'éveillant, mon chéri Je m'aperçus, toute confuse Que l'oiseau était dans mon nid Entendant ça, j' r'pris bien vite : Ah ! qu' veux-tu, les rêves sont parfois éreintants J' comprends parfait'ment c' qui t'agite Mais, pour le moment, ma chérie, tu vois, y a pas plan |
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